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Ouverture du festival

  • Photo du rédacteur: Audrey Sabardeil auteur
    Audrey Sabardeil auteur
  • 2 août 2024
  • 1 min de lecture

Jeudi 1er août, premier jour de Corsicapolar, festival du polar corse et méditerranéen.

Après un vol de moins d'une heure entre Marignane et Ajaccio - les retrouvailles et rencontres avec certains auteurs ont commencé là - , me voilà en Corse du Sud sous un soleil de plomb. Un taxi nous emmène à l'hôtel Napoléon, choisi pour nous par les organisateurs.

Balade à Ajaccio, petit repas dans une brasserie du port. C'est quartier libre jusqu'à 16h30.

Puis on vient me chercher à l'hôtel direction le cinéma Ellipse sur les hauteurs d'Ajaccio, dans un quartier hors de la vieille ville.

Le thriller espagnol "Borderline" (2024) ouvrira le festival.

Mais d'abord, installation des auteurs dans le hall du cinéma sur une grande table de dédicace. Premières rencontres, première discussion.

À 18h30, projection du film après que Bernard Bouquet a présenté le festival, justifié le choix du film et annoncé le programme des deux jours suivants.

Formidable film des réalisateurs Juan Sebastian Vasquez et Alejandro Rojas. Chapeau au Scenariste pour son intrigue parfaite et savamment distillee( je me suis demandée si ce huis clos serait transposable en roman. Une gageure !), chapeau aux acteurs, remarquables. On est embarqué, on se sent faits comme des rats et c'est extrêmement prenant. Et quelle chute ! Un film d'1h15 écrit comme une nouvelle. Une vraie réussite.

Un choix parfait pour ouvrir ce festival !

Et de quoi faire parler et échanger lors de l'apéritif dînatoire qui a suivi dans le hall, et de nouveau, la séance dédicaces...

À demain !



 
 
 

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