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Retour à Quartiers Libres : une soirée qui fait chaud au cœur

  • Photo du rédacteur: Audrey Sabardeil auteur
    Audrey Sabardeil auteur
  • 27 nov.
  • 2 min de lecture

Revenir à la librairie Quartiers Libres, à Vitrolles, c’est un peu comme revenir dans une maison où l’on sait qu’on sera accueilli à bras ouverts et en toute simplicité. C’est là, en 2022, que j’ai vécu ma toute première rencontre publique, pour mon premier roman Le soleil ne brille pas pour tout le monde. À l’époque, c’était Flore qui m’avait reçue, avec cette douceur et cette bienveillance qui la caractérisent.

Cette fois-ci, c’est Julie qui menait la danse : même lumière, même curiosité sincère, même envie de partager les livres et ce qu’ils déclenchent. Entre-temps, la librairie a grandi, s’est affirmée, s’est imposée comme un pilier culturel du quartier. Elle organise aujourd’hui une foule d’événements — dans ses murs mais aussi hors les murs — avec un dynamisme rare. Et elle peut compter sur un allié précieux : l’association Les Bouquineur.se.s, un groupe de lecteurs passionnés qui soutient la librairie à chaque pas, et qui fait vivre les rencontres en vrai et sur les réseaux. Un club de lecture comme antithèse de l'image poussiéreuse que vous pourriez en avoir !

La soirée autour de Cargo blues a été à l’image du lieu : simple, drôle, conviviale, et riche en échanges. J’y ai retrouvé des lecteurs fidèles — ceux qui me suivent depuis le début — et j’en ai rencontré de nouveaux, curieux, attentifs, prêts à embarquer dans Marseille et ses zones d’ombre.

Et puis, merveille des librairies vivantes : l’équipe s’agrandit ! Aux côtés de Flore et Julie, il y a désormais Léa, une troisième libraire, tout aussi motivée, tout aussi investie. Quartiers Libres a quatre ans, et un bel avenir devant elle je l'espère : une librairie solide, ancrée, aimée, portée par celles qui la font vivre… et par les lecteurs qui la font rayonner.

Merci Quartiers Libres. Merci Vitrolles. Merci pour cette soirée. Et longue vie aux toujours essentiels acteurs culturels.

Cargo blues était bien entouré, et moi aussi.

Francs sourires à Quartiers Libres !
Francs sourires à Quartiers Libres !

 
 
 

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