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Ça s'est passé comme ça ...

  • Photo du rédacteur: Audrey Sabardeil auteur
    Audrey Sabardeil auteur
  • 21 juil. 2024
  • 2 min de lecture

C'était ce week end à Sablet, dans le Vaucluse, un salon fameux, qui se tenait pour la 36ème fois, excusez du peu ! Sylvie Laffont, l'organisatrice historique, en sait quelque chose...

Salon autrement appelé "Journée du livre et du vin". Il faut dire que Sablet est entre Vacqueyras et Gigondas. Et non, ce ne sont pas que des appellations de bons vins, et ces noms ne se retrouvent pas que sur des étiquettes pour œnographiles* passionnés : ce sont aussi des noms de charmants villages en pierres, entre les vignes (on y revient !)


Nous sommes arrivés (car je covoiturage avec l'ami Jean-Paul Delfino. Lisez son Guyanes ! Un voyage ...) vers 15h30 - après une halte au domaine de La Tuilière, pour ne pas le nommer, histoire de joindre l'utile à l'agréable, et ramener quelques caisses de Gigondas.

39°. Ça me change de Saint-Pierre et Miquelon !

Comme annoncé par les habitués, organisation aux petits oignons (la librairie Feuilles et Thés de a dynamique Christelle Avon et l'association Unissons de Florian Allain étaient avec Sylvie Laffont aussi à la manœuvre), ambiance sympathique et jusqu'à 21h, lecteurs sympas ( quoique peu nombreux, chassés sans doute par cette chaleur écrasante).

Dans l'après-midi, Alain Enjolras m'embarque dans son camion-studio pour son émission "À livre ouvert" à propos de mon deuxième roman, Les Naufragés, pour Mix, la radio étudiante (radio indé qui diffuse sur la zone d'Orange seulement. Mais quand le podcast sera dispo, vous le saurez bien sûr...)


À 21h30, le repas sous les pins, au belvédère, n'a pas démenti l'atmosphère rigolade - ambiance colo plutôt que Grande Librairie : à ma table, les auteurs René Fregni, Jean-Paul Delfino, Gilles Del Papas, Maurice Gouiran, Robert Reumon et Bénédicte Rousset et l'organisatrice.


Le dimanche, autre température mais même ambiance : orage sans désespoir. Pluie diluvienne. Mais ça se calme pour l'ouverture du salon et les lecteurs sont là.


Bref, un beau weekend de rencontres. Et pour ma part, un chauffeur charmant et sympathique a joué les taxis jusqu'à l'hôtel : Claude Serillon. Une rencontre inattendue et tout à fait plaisante que seule cette aventure littéraire entamée il y a deux ans pouvait m'apporter ...


À suivre !





*Collectionneurs d'étiquettes de vins.

 
 
 

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