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Polyphonie joyeuse

  • Photo du rédacteur: Audrey Sabardeil auteur
    Audrey Sabardeil auteur
  • 2 févr.
  • 1 min de lecture

Qu'il m'a fait plaisir, ce mail de l'organisateur de Corsicapolar, le festival corse de littérature noire !

J'ai eu le bonheur d'y être invitée déjà l'an dernier : 3 jours à Ajaccio pour aller à la rencontre des lecteurs dans un cadre plus qu'agréable et entourée par une équipe enthousiaste et particulièrement accueillante.

L'occasion aussi de rencontrer de nouveaux auteurs, d'échanger avec eux sur tout un tas de sujets, plus ou moins littéraires, plus ou moins sérieux.


Le président de l'association qui porte ce beau festival nous vait prévenus dès l'automne : baisse de subventions, menaces sur les évènements culturels. L'édition 2025 n'était pas garantie.


Entre temps, plusieurs signaux m'avaient fait craindre que cet oracle ne se confirme : certaines régions ont perdu tout soutien des pouvoirs publics en matière de culture, d'autres ont vu leur budget diminuer. Tout dernièrement, le dispositif Pass Culture en direction des établissements scolaires, permettant l'accès aux artistes ( notamment par des rencontres d'auteurs ou des représentations théâtrales) a été purement et simplement gelé, au bout milieu de l'année scolaire).

Alors quand le mail de Bernard Bouquet m'invitant au Corsicapolar de cet été a atterri dans ma boîte aux lettres, quelle belle surprise !


Alors oui ! J'en serai ! Et plutôt deux fois qu'une.

Évidemment, mon prochain roman, Cargo blues, sera au rendez-vous, à Ajaccio, les 1er et 2 août.

D'autant que la Corse y joue aussi son rôle, alors ...


 
 
 

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