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Quand un roman continue à faire parler de lui

  • Photo du rédacteur: Audrey Sabardeil auteur
    Audrey Sabardeil auteur
  • il y a 4 heures
  • 3 min de lecture

Parfois, un article vous cueille.

Parce qu’il va au delà du résumé ou du commentaire rapide. Au delà même de la chronique poussée.

Et aujourd'hui, c'est ce que Manuel Meszarovits m'a offert : une analyse de Le soleil ne brille pas pour tout le monde comme personne d'autre n'en avait rédigée avant lui. Et de loin.

(🔗 À la fin de ce post)


Parue ce 12 mai 2025 sur son blog Le Monde du Polar, et relayée sur ses différents réseaux (Insta, LinkedIn, Facebook, ...), il s'agit d'un article incroyablement fouillé, argumenté et précisément appuyé sur mon roman. Sur le fond comme sur la forme. Cette thèse (Je suis Marseillaise mais là vous verrez, j'exagère à peine !) s'achève par des extraits.


Intitulée « Marseille à fleur de peau : portrait d’une ville et de ses invisibles » (🔗 À la fin de ce post), cette lecture fine, documentée, scientifiquement bâtie mais aussi profondément humaine de mon premier roman m’a touchée en plein cœur. Son auteur (doté, qui plus est, d'une sacrée plume) passe au crible tous les aspects de mon intrigue - littéraires autant que sociologiques et politiques - et interroge le lien entre fiction et réel. Il prend le temps d'examiner chaque personnage pour lui-même, dans ses relations aux autres figures du roman, jusqu'à son éventuelle portée symbolique. Ma vision de Marseille y est également disséquée comme jamais.


En fait, l'ensemble de cette analyse rend hommage à mon travail et à l'ambition de ce premier roman mieux que je ne l'aurais fait moi-même. Je n'en reviens toujours pas ! 🤩

Bref, si j'avais un cours à donner à propos de mon roman, j'utiliserais ce travail comme référence. 🎇C'est magistral !

( 🔗Toujours à la fin de ce post !)


📖Si vous avez lu le livre (ou si vous hésitez encore à vous y plonger), je vous invite à découvrir cette chronique-fleuve qui éclaire, questionne et prolonge le texte avec une grande justesse.


⚠️Pour ceux qui voudraient se procurer mon premier roman (🙏🏻merci !) : Attention !

Après la rupture de mon contrat avec l'éditeur de ce premier roman (et du deuxième), j'ai récupéré les droits patrimoniaux de ces deux livres. 🎉 ( 📢Oyez oyez ! Vous êtes un éditeur sérieux - et honnête - ? Vous êtes intéressé ? Contactez-moi !)

En clair, M+ éditions (☢️☠️) n'a plus le droit légal d'en faire commerce.

Par je ne sais quelle bizarrerie (voire ...), très récemment, un stock s'est magiquement retrouvé sur Amazon après rupture (l'enquête est en cours) mais Le soleil (...) est officiellement épuisé, tout comme Les Naufragés.

Tout est perdu ? Non, car quelques rares librairies résistent encore et toujours : j'ai repéré des cas d'exemplaires résiduels à St Chamas (Feuilles & Thés), à Vitrolles (Quartiers Libres) et à Salon (La Portée des mots).

Sachez qu'il me reste également une dizaine d'exemplaires dans mon stock personnel, que je propose dans certains salons ou en vente directe si les quelques frais de port ne vous rebutent pas. Je vous rassure : la dédicace sera particulièrement soignée et gratuite ! 😁


Au passage, pour Les Naufragés, là encore, si vous voulez éviter Amazon, tentez à Garéoult (L'alchimie des mots) ou à Marseille (Vauban). Pour ce second titre en revanche, mon stock personnel est à sec.😑


Quant au recueil de nouvelles auquel j'ai collaboré et où l'on retrouve ma nouvelle "J'accuse", lauréate à Marseille du 🏆 de la Nouvelle Noire 2024, il se trouve en librairies et en vente directe par mes soins. ( "Le cercle des Polardeux marseillais - saison 2" éd.Melmac)


Évidemment, mon dernier roman, Cargo blues, se porte comme un charme, est en vente partout, porté par un éditeur, un vrai !


J'en reviens à l'analyse savante et superbement écrite par Manuel Meszarovits que je remercie encore une fois (ce ne sera jamais assez) pour ce regard rare et cet incroyable travail de fond. Je vous laisse le découvrir sur son blog ⤵️ :



 
 
 

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